surdosées

Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 2006 dans l'article Un temps pour vivre, un temps pour mourir, par Maurice T. Maschino.

Comme le montre une étude nationale réalisée en 1997-1998 par le Dr Edouard Ferrand, « l’euthanasie active, loin de disparaître, s’est transformée en de nouvelles pratiques quasi indécelables qui consistent à injecter des médicaments habituels en quantités surdosées, afin de masquer le geste euthanasique derrière l’apparence de prescription antalgique (9) ».