santen

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1988 dans l'article Le cri d'alarme des pays-poubelles, par Gérard de Sélys & Anne Maesschalk.

Quelques jours plus tard, M Roelants du Vivier dénonce l’existence d’un contrat de déversement de déchets au Benin, et un transporteur hollandais, la société Van Santen, annonce qu’elle dispose d’une licence délivrée par la République du Congo pour l’entreposage et l’incinération d’un million de tonnes de déchets toxiques (1).