non-transparence

Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 2003 dans l'article Ce qui paralyse le pouvoir ivoirien, par Yves Ekoué Amaïzo.

La non-transparence des marchés alimente des rumeurs, et la presse ivoirienne va jusqu’à suggérer que des sociétés de négoce britanniques telles qu’Amajaro et Aig Fund, basées à Londres mais dont le siège social se trouve dans les îles Vierges britanniques, préféreraient contribuer à une déstabilisation de l’approvisionnement en cacao ivoirien pour s’assurer des gains 15 fois plus importants que les sommes investies (7).