accroupissant
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1976 dans l'article Le destin ignoré des prisonniers politiques, par Mary Tyler.
Même pendant la journée, les cellules étaient dans l’obscurité et l’on ne pouvait lire qu’en s’accroupissant devant la porte munie de barreaux, seule source de lumière et d’air.