zurkhâne
Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 1998 dans l'article Troisième mi-temps pour le football iranien, par Christian Bromberger.
Le sport national, c’est la lutte, qui s’adosse à la pratique coutumière du zurkhâne (littéralement : maison de force) où l’on s’adonne, dans un cadre de sociabilité conviviale, à divers exercices athlétiques ; l’image du lutteur est double : c’est à la fois celle du « gros bras » (du « gros cou », dit-on en persan) des milieux populaires traditionnels ; c’est aussi celle du pahlavân, le héros chevaleresque, libre, dévoué et désintéressé.