zigeunerweisen
Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 1982 dans l'article Reflets d'une société éclatée, par Max Tessier.
Le recours à l’imaginaire y est aussi l’affirmation du « moi » créateur, comme chez Seijun Suzuki, cinéaste au destin similaire, qui fut l’idole des intellectuels pendant son procès contre la Nikkatsu après 1968 ; Zigeunerweisen (titre original en allemand) et Brumes de chaleur, ses deux derniers films, sont, en de somptueuses images allégoriques, de véritables manifestes pour un cinéma libre de toute entrave réaliste, et authentiquement subversif.