zetterling

Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 1971 dans l'article La grande saga du cinéma suédois, par Jean Béranger.

Mais il faudrait encore citer dans cette tumultueuse promotion : Maï Zetterling, au fin label, tantôt inspiré par Sjôberg (les Amoureux), par Bergman (Jeux de Nuit), par l’expressionnisme allemand (Docteur Glas) et par l’incisif aiguillon de la satire (les Filles) ; Ake Falck, solide chroniqueur de la vie champêtre (Ennuis de Noces, la Valse de Vindinge), Yngve Gamlin (la Chasse, les Baigneurs), Olle Hellbom (les Blousons noirs), Lars-Magnus Lindgren (Cher John), Gunnar Hoglund (la Piste royale), Johan Bergenstrahle (Made in Sweden), Lars Forsberg (l’Américain) et son presque homonyme Lasse Forsberg (Agression).