zarabs
Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 1996 dans l'article L'instinct de résistance des Réunionnais, par Philippe Leymarie.
Plus d’un tiers de Cafres (descendants d’esclaves mozambicains et malgaches), un quart de Tamouls (issus d’ « engagés » indiens, dont le sort n’était pas bien meilleur), un tiers de Créoles (majoritairement des « petits Blancs » ), avec une grosse pincée de Chinois et de Zarabs (les principaux détenteurs du pouvoir économique), et un filet de Zoreils : les « Français de France », qui incarnent la légitimité métropolitaine (3).