yaxchilán

Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 2002 dans l'article Guerre sournoise dans la forêt lacandone, par Hermann Bellinghausen.

Dociles vis-à-vis du pouvoir, ne connaissant même pas « leurs » terres, ils ont abandonné l’agriculture pour accueillir des touristes dans leurs hameaux, vendre des lances, des becs de toucan et autres souvenirs, et administrer le guichet des zones archéologiques de Bonampak et de Yaxchilán, avec lesquelles ils n’ont aucune relation culturelle ou historique.