wolofal

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 2017 dans l'article Francophonie : le dilemme des écrivains africains, par Boubacar Boris Diop.

Le scientifique et historien sénégalais Cheikh Anta Diop, nourri dans son enfance de la poésie wolofal — c’est-à-dire le wolof transcrit avec l’alphabet arabe — de Serigne Mor Kayré et Serigne Moussa Kâ, a réussi à faire le lien entre eux et les intellectuels occidentalisés.