williard
Première apparition dans le Monde Diplomatique en juillet 1974 dans l'article Chicago, Chicago !, par Alain-Marie Carron.
La prospérité du « syndicat du crime » à Chicago eut pour origine principale le zèle intempestif d’une madame Frances Williard, d’Evanston (banlieue sud de Chicago), et de ses disciples, qui au terme d’une campagne fanatique obtinrent du Congrès l’amendement de la Constitution interdisant la vente et la fabrication a alcool.