wazzou
Première apparition dans le Monde Diplomatique en juin 1981 dans l'article Une Afrique sans fictions, par Ignacio Ramonet.
Les autres, privés : comme avec ces quelques producteurs français qui ont pris le risque de miser sur le cinéma africain naissant : Pierre Bromberger, Anatole Dauman (pour les films d’Oumarou Gando, « Cabascabo » et le « Wazzou Poligame »), Jacques Poitrenaud ("Sambizanga", de Sarah Maldoror), etc.