volières
Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 2012 dans l'article Le chat de Felipe González, par Luis Sepúlveda.
La fièvre immobilière et la corruption afférente se concrétisèrent par des aéroports grandioses où jamais un avion n’a atterri, par des lignes de train à grande vitesse qu’aucun passager n’a empruntées, par des circuits de course automobile où forniquent les lapins, par des maisons de la culture pharaoniques qui servent de volières aux pigeons.