virilement

Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 1991 dans l'article Soudain, les murs de Dakar fleurirent sous les fresques, par Jacques Bugnicourt.

Les obélisques, édifiés ça et la, expriment la volonté des quartiers périphériques de se tenir debout, et celle des « set-sétaliens » de se dresser, virilement, face à la vie, tout comme l’évocation multiple du roi des animaux renvoie à l’hymne national : Le Lion rouge a rugi.