ville-chantier

Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 2006 dans l'article La Chine aux deux visages, par Martine Bulard.

Shenyang s’est transformée en ville-chantier, où les immeubles poussent comme des champignons, dans la plus grande anarchie, avec des façades dorées, des toits en pagode et autres « dragonneries », selon l’expression d’un architecte chinois outré par tant de mauvais goût et… de corruption – ce mal endémique qui permet de construire ce que l’on veut où l’on veut.