vilgot

Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 1971 dans l'article La grande saga du cinéma suédois, par Jean Béranger.

Elle comporte, d’ores et déjà, comme principaux « leaders » : Bo Widerberg, qui amalgame,avec une prodigieuse maîtrise, l’exaltation des luttes ouvrières et les merveilleuses tonalités de la palette impressionniste (Adalen 31, Joe Hill), Jan Troell, qui enrobe des constats sociologiques dans un souffle orchestral, d’un ondoiement presque symphonique (les Feux de la Vie – d’après un roman d’Eyvind Johnson, – Ole dole doff, les Emigrants), Vilgot Sjôman, qui n’hésite pas à assortir d’érotisme son inépuisable fringale contestataire (Je suis curieuse, Vous mentez !