vilena

Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 2003 dans l'article Terres promises du Venezuela, par Maurice Lemoine.

Flora companía anónima (appartenant à la Couronne britannique, comme dans le Cojedes) : 350 000 hectares ; Hato La Victoria : 100 000 hectares ; Hato El Cedral : 150 000 hectares ; La Caña Vilena : 30 000 hectares ; Matebanco : 25 000 hectares… Dans ces llanos (9) de légende, ces immenses étendues d’herbe haute et abondante, traversées des mêmes ríos serpentant dans les mêmes méandres et les mêmes galeries forestières, dans la monotonie des plaines inondées, le mouvement paysan, accusé d’être composé de « guérilleros », a depuis toujours subi une féroce répression.