vibrionne

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 2012 dans l'article Contestation sonore en Angola, par Alain Vicky.

Embouteillages et tours en chantier, rues dépavées et candongeiros (taxis collectifs) crachant le dernier morceau de kuduro, travailleurs chinois fumant un clope adossés contre une palissade, jeunes Portugais que la crise européenne a poussés vers leur ancienne colonie (1)… La capitale angolaise, où réside le quart de la population nationale, vibrionne depuis 2002 et la fin de la guerre civile qui, après l’indépendance, en 1975, opposa pratiquement sans discontinuer le Mouvement populaire de libération de l’Angola (MPLA, soutenu par les Soviétiques et les Cubains) et l’Union nationale pour l’indépendance totale de l’Angola (Unita, appuyée par les Etats-Unis et l’Afrique du Sud).