vermillonnées
Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 1963 dans l'article À la découverte des monastères.
Des dragons en céramique verte ou bleue courant sur un toit de tuiles indiquent un temple chinois, où, dans un décor de boiseries dorées ou vermillonnées et dans les senteurs de l’encens, sont honorées les effigies de l’empereur de jade, de Confucius ou de Kouang-Kong, le héros légendaire de l’épopée des Trois Royaumes.