veillés

Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1995 dans l'article La mémoire en cendres de Madagascar, par Françoise Raison-Jourde.

Les tombeaux de pierre ayant éclaté dans la fournaise, des restes, identifiés trop vite peut-être comme ceux de Ranavalona III, furent descendus jusqu’au stade de Mahamasina et veillés comme on le faisait avant 1895 pour le corps du souverain défunt.