vascularisée

Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 1998 dans l'article Le Burkina Faso fait reculer l'excision, par Joëlle Stolz.

Elle parle du choc de la douleur, dans cette partie du corps hautement innervée et vascularisée, des risques d’infection et de tétanos, lorsqu’on suture la plaie avec la bouse de vache, des cicatrices qui rendent les accouchements difficiles et perturbent une fonction urinaire normale.