vaporisant
Première apparition dans le Monde Diplomatique en juillet 1966 dans l'article La contribution essentielle de la médecine et de la biologie, par Claudine Escoffier-Lambiotte.
Lorsque celle-ci s’abaisse au-dessous de 47 millimètres de mercure, les liquides (eau et sang) de l’organisme passent à l’état gazeux, se vaporisant ; c’est « l’ébullisme spatial », qui s’accompagne d’embolies gazeuses et entraîne la mort en vingt secondes.