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Première apparition dans le Monde Diplomatique en juillet 1975 dans l'article Les mythes de l'« apolitisme » et du « progressisme », par Alain Labrousse.
A la lumière des événements des trois dernières années, on distingue trois courants au sein de l’armée uruguayenne : un secteur ayant choisi de soutenir le pouvoir civil réactionnaire (la marine et certains officiers de l’armée de terre dont le leader était le commandant en chef Chiappe Pose, ami personnel de l’ex-président Pacheco Areco) ; des partisans d’une dictature « dure » à la brésilienne, qui contrôlaient trois des quatre régions militaires placées respectivement sous la direction du général Cristi et des frères Zubia (ce sont eux qui acculèrent Chiappe Pose à la démission en mai 1974) (4) ; enfin les militaires « péruviens », ou « progressistes », dont les plus connus sont les généraux Alvarez et Vadora, et les colonels Trabal et Bolentini.
Un e autre apparition
Un autre article du Monde Diplomatique qui contient ce mot :