végétalisée

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 2020 dans l'article Notre-Dame : rentabiliser le passé, par Philippe Pataud Célérier.

À coup sûr, elle serait au diapason de ce que Perrault souhaite ajouter : « Au pied de la cathédrale, un débarcadère et des plates-formes flottantes accueillant piscine, cafés, restaurants, salles de concerts ; le long de la Seine, une longue promenade végétalisée, débarrassée des voitures, reliant les pointes aval et amont de l’île ; deux nouvelles passerelles qui franchissent le fleuve ; un peu partout, des verrières, des passages couverts, des galeries souterraines, des atriums en sous-sol (3)… » Faisaient seulement défaut à cette exploitation patrimoniale — digne de l’Homo festivus cher à l’écrivain Philippe Muray — les financements et les autorisations que requièrent les codes du patrimoine, de l’urbanisme et de l’environnement pour tous travaux réalisés dans ce périmètre hautement protégé.