ultra-intellectuelle

Première apparition dans le Monde Diplomatique en février 2014 dans l'article Que viva Mexico !, par Laurent Courtens.

Condamnant la peinture de chevalet, jugée « ultra-intellectuelle et aristocratique », ce manifeste fondateur du muralisme mexicain proclame la nécessité d’un art monumental et public, d’un « art pour tous, d’éducation et de lutte ».