ulcérations

Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 1961 dans l'article Les effets biologiques des armes nucléaires, par Claudine Escoffier-Lambiotte.

Ces « seuils » ont pu être élevés ces dernières années grâce à l’application de traitements complexes et minutieux ; la disparition des cellules du sang et des éléments qui permettent la lutte contre les infections, les lésions et ulcérations de l’intestin provoquent en effet des hémorragies, de l’anémie, des vomissements et de la diarrhée, que l’on peut combattre par des transfusions multiples, des injections de moelle osseuse fraîche prélevée chez des donneurs volontaires, l’administration d’éléments nutritifs essentiels par voie intraveineuse, et d’antibiotiques pour combattre les infections, bref par un grand déploiement de matériel, de personnel spécialisé et compétent, et par des ressources hospitalières et thérapeutiques importantes.