uhalkali

Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 1980 dans l'article Quelques semaines de la révolution iranienne, par Marie-France Toinet.

Certains n’hésitent pas à l’affirmer qui incriminent l’un de ses adjoints, l’ayatollah Uhalkali, qui serait « celui qui achève les malades » (19) et accusent l’ayatollah d’avoir incarcéré « plus de trente mille (prisonniers politiques), le maximum que peuvent contenir les prisons iraniennes » (20) : Khomeiny « restera pour l’histoire un des symboles les plus terribles du fanatisme.