tunc
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1972 dans l'article La politique de M. Husak va-t-elle vers la « kadarisation » progressive du régime ?, par Charles Zorgbibe.
La thèse de Prague, selon laquelle les accords de Munich doivent être considérés comme nuls ex tunc, c’est-à-dire dès l’origine, permet justement aux actuels porte-parole du Palais Cernin de prendre leurs distances vis-à-vis des réformateurs du « printemps de Prague », dont les positions étaient supposées plus pragmatiques.