tubaire

Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 1990 dans l'article La perversion de l'idéal de recherche, par Jacques Testart.

Dans la foulée, on imagina des variantes supposées libérer le gynécologue de sa dépendance à l’égard d’un laboratoire (tel le transfert tubaire de gamètes ou GIFT) ou des additifs issus de la biologie et destinés à augmenter l’efficacité des actes (telle la congélation des embryons).