tuante

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1956 dans l'article Châteaubriand envoyé de Louis XVIII à Londres, par Jules Bertaut.

Aussi multipliait-il les précautions par Le Moine, par les lettres de Pilorge, pour l’assurer que le temps était déplorable, que les brouillards succédaient aux averses, que cette existence de réceptions continuelles était tuante : « Je suis bien triste ici : que ma pauvre femme n’y vienne pas, elle y mourrait !