triturés

Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 1998 dans l'article J'aime pas l'« Aubère », par Miguel Littin.

La nuit entière remplie d’un vide comparable seulement à la mort ; le cauchemar peuplé de corps triturés, de langues coupées, de mains brisées, de viols, de crachats, de merde et de sang.