treeline

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1965 dans l'article Le Grand-Nord canadien, centre d'alerte militaire et réservoir de richesses minérales, par Jean-Pierre Tainturier.

Un consensus quasi général s’est cependant fait autour d’une définition climato-botanique : le Grand Nord commence à la « Treeline », là où les arbres ne poussent plus.