tout-capital

Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 1995 dans l'article Travail, capital... Pour qui chantent les lendemains ?, par Jacques Decornoy.

Cette pauvreté d’une pensée tuée dans l’oeuf par l’option en faveur du « tout-capital » se retrouve dans les rapports des organisations internationales, autant d’hymnes au laisser-faire que les syndicats sont invités à entonner.