tomboy
Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 2013 dans l'article Travailler pour l’amour de l’art ?, par Eugenio Renzi.
Il s’insurge contre ce « surcoût » et demande de « prendre en compte l’incroyable disparité des budgets (qui se situe dans un rapport de 1 à 70 entre un film comme Tomboy [Céline Sciamma, 2011], à 900 000 euros, et le dernier Astérix [Laurent Tirard, 2012], à 62 millions d’euros ».