tenancières

Première apparition dans le Monde Diplomatique en juin 1994 dans l'article D'une littérature de libération à la liberté de créer, par Jean-Pierre Richard.

» L’ambition de la nouvelle littérature sud-africaine, par rapport à sa galerie de personnages traditionnels — patronnes et patrons (baas) blancs, policiers, fermiers, contremaîtres, tenancières de bars clandestins (shebeen queens), mauvais garçons (tsotsis) détenus, etc.