tchernoukha

Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 1992 dans l'article Le grand désarroi des cinéastes russes, par Marcel Martin.

Un autre risque patent concerne le tout-venant de la production, vouée depuis la perestroïka (1986) au culte de la violence et du sexe et, plus généralement, de ce que les Russes appellent tchernoukha, c’est-à-dire le goût de la noirceur et du misérabilisme.