tardien

Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 1988 dans l'article Munich ou l'illusion de la paix, par René Bayssière.

Au centre et à droite, quelques voix s’élèvent aussi contre Munich : André Tardien, qui considère que « Munich est le plus beau succès allemand de l’après-guerre » ; Henri de Kerillis, pour qui « le pacte… nous apporte la paix sans la sécurité… (18) » ; ou Emile Buré, dans l’ordre, qui manifeste son inquiétude, en octobre 1938, et cloue au pilori en mars 1939, après « le coup de Prague », ses adversaires « Ceux de nos munichois qui n’ont par perdu tout sens national sont tenaillés par le remords.