tamahori

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1996 dans l'article Les nouvelles images de la violence, par Olivier Mongin.

Pour eux, celle-ci n’est pas une fatalité… A la différence de La Haine, où la chute libre dans la violence apparaît d’emblée inéluctable — d’où le caractère tragique d’une œuvre trop vite stigmatisée par l’expression de « film-banlieue » (5) —, un long-métrage néo-zélandais comme L’Ame des guerriers, de Lee Tamahori (1994), prend acte d’une violence urbaine et familiale « à l’état de nature », pour se demander comment en sortir.