tajalujyat

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1984 dans l'article Ecrivains confinés dans l'isolement, par Sayed Al-Bahrawi.

Peu d’entre eux parviennent à briser l’isolement qui les rend étrangers dans leur propre pays, séparés, en quelque sorte, du peuple et de ses problèmes, si ce n’est quelques rares exceptions parmi la génération des années 60 : Sona’Allah Ibrahim dans son roman al Lagna (le Comité), Gamal Al Ghaytani dans ses Tajalujyat (Epiphanles) ou encore Yehia Al Taher Abdallah, qui, avant sa récente disparition, tentait de se rapprocher de la langue et de la logique du peuple dans ses nouvelles inspirées de contes populaires.