tabushi

Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 2009 dans l'article A Tijuana, la mauvaise fortune des « maquiladoras », par Anne Vigna.

Passé par plusieurs entreprises depuis l’âge de 21 ans, Rogelio, la quarantaine, est intarissable sur leurs pratiques : « Je viens du Michoacán et, à peine arrivé ici, j’ai d’abord travaillé pour la japonaise Takubi, où l’on assemblait les cadres des baffles ; puis chez Tabushi, également japonaise, où on faisait les câbles pour Canon ; et puis chez l’américaine Sohnen, la pire de toutes, où on réparait les appareils électriques.