suroccupée
Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1982 dans l'article Les travailleurs non salariés en afrique, par Alain Morice.
En outre, il y a au moins deux couches d’apprentis : d’une part, la main-d’œuvre régulière, à peu près toujours présente dans l’atelier, tantôt désoeuvrée, tantôt suroccupée, récompensée selon le bénéfice quotidien ; d’autre part, la main-d’œuvre occasionnelle, fréquemment enfantine, qu’aucune obligation mutuelle durable ne lie au patron : c’est la réserve la plus flottante, la plus instable et la plus inépuisable de la petite production, dont seule une partie accédera à la catégorie précédente (4) et qui, en attendant, n’est fondée à espérer recevoir que des miettes de revenu, çà et là.