surirrigation
Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1988 dans l'article Quand baissent les eaux du Nil..., par Habib Ayeb.
Cette gratuité encourage le gaspillage et la surirrigation (8 000 mètres cubes d’eau par an et par feddan, contre un volume optimal de 4 000 à 5 000 mètres cubes), qui elle-même augmente la salinité des sols et réduit les rendements.