superfirme
Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1980 dans l'article Des idées pour se construire un avenir, par Jacques Cellard.
Mais cet avenir reposait tout entier sur une superfirme, Cockerill, dont les actionnaires, et en particulier la toute-puissante Société générale de Belgique, plutôt que d’anticiper sur l’évolution des techniques et de moderniser l’entreprise, préférèrent employer ailleurs des bénéfices très confortables : au Congo belge d’abord, puis plus récemment à… Anvers, en participant à la création de l’entreprise sidérurgique Sidmar qui présente bien sûr pour les investisseurs l’avantage d’être au « bord de l’eau ».