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Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 2017 dans l'article Metsamor, un Tchernobyl en puissance, par Damien Lefauconnier.

Hakob Sanasarian, ancien membre du Parlement et président de l’ONG Greens Union of Armenia, affirme que le gouvernement dissimule les conclusions beaucoup plus alarmantes d’un autre rapport, daté de 1992, et signé par quatre chercheurs de l’Institut de physique de l’Académie des sciences russe, pour le compte du Service national de protection sismique arménien : « Le plus grand danger pour la centrale est une faille tectonique à proximité immédiate (0,5 kilomètre), à l’intersection des plaques Aragats-Spitak et Sud-Erevan, d’un grand potentiel sismique », décrit le rapport.