stroessnériste
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1991 dans l'article Le Paraguay ou les prémices de la démocratie, par Ruben Bareiro-Saguier & Felipe Navarro.
Ce panorama politique est complété par le Parti révolutionnaire fébrériste (PRF, 5 %), le Parti démocrate-chrétien (PDC, 1,5 %), le Parti communiste (PCP), interdit depuis 1947 et qui a pu, en 1989, célébrer légalement son anniversaire au Paraguay pour la première fois de son histoire, ainsi que des courants qui vont du trotskisme comme le Parti des travailleurs (PT) ou « Patrie libre », jusqu’au groupuscule nazi du Parti national-socialiste… Sur le plan syndical, le retour à l’Etat de droit a provoqué la fracture de la vieille Confédération paraguayenne des travailleurs, stroessnériste et la naissance de la Centrale nationale des travailleurs (CNT) et de la Centrale unique des travailleurs (CUT) — qui, en dix-huit mois, a réussi à regrouper soixante-six syndicats, — toutes deux très actives lors de l’organisation de manifestations et de grèves, notamment celles des ouvriers des barrages de Yacyreta et Itaipu (2).