stoupa

Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 1963 dans l'article Le pays Khmer offre aux touristes étrangers des ressources très variées.

Le Phnom (colline), son haut et vieux stoupa moussu et son petit temple émergeant d’un écrin de verdure aux arbres séculaires, le palais, ses élégantes constructions et l’éclatante floraison de leurs toits aux teintes d’or, de saphir et d’émeraude, les vastes monastères, Onalom, Botum-Vadey, Saravane, parmi vingt autres dont le wat Preah Keo Morokot — le monastère du Bouddha d’émeraude plus connu, par les étrangers, sous le nom de Pagode d’argent (en raison de son carrelage), — les monastères, leur sanctuaire central où veille, majestueuse et sereine, l’image du Bienheureux, et leurs forêts de stoupâ effilés pointant vers le ciel, donnent à Phnom-Penh sa note originale, son cachet particulier.

Un e autre apparition

Un autre article du Monde Diplomatique qui contient ce mot :

  1. À la découverte des monastères