stalaven

Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 2011 dans l'article Bouchers roumains pour abattoirs bretons, par Mathilde Goanec.

» Les ouvriers du coin se disent « Cooperl », « Kermené » ou « Stalaven », selon qu’ils travaillent dans l’un ou l’autre des abattoirs qui se succèdent sur une distance de trente kilomètres.