sromantique

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1960 dans l'article Chemin de fer et diplomatie, par Aimé Dupuy.

» Il s’agissait bien, dans l’esprit général du temps comme dans la réflexion du poète, d’un trait d’union, d’un lien, qui, selon Stendhal, était – sauf criminels desseins des « maîtres » à l’endroit des peuples, – destiné à rendre les guerres impossibles ; elles choqueraient « trop d’intérêts chez les nations voisines… (3) » Telle était, entre 1830 et 1840 sromantique à souhait, – la thèse du chemin de fer facteur non seulement de progrès, mais aussi de paix.