sprêts

Première apparition dans le Monde Diplomatique en juillet 1974 dans l'article L'alliance des affaires et des beaux-arts, par Alain Clément.

Ces rapprochements ne tiennent compte ni de l’étirement du territoire, ni d’un peuplement plus que clairsemé, ni surtout des premières semences de civilisation jetées sur le sol de cette « wilderness » (« désolation » serait la traduction ici adéquate) par des missionnaires – jésuites, récollets, sulpiciens sprêts à tous les sacrifices (1) pour évangéliser les peuplades locales, et les quelques Français « de conséquence », selon le vocabulaire d’époque, qui transportèrent au cœur des forêts et ou milieu de leurs labeurs un souci atavique d’urbanité et de style.