sous-revenu

Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 1998 dans l'article Une population à la dérive, par Djillali Hadjadj.

Un million d’Algériens, sans emploi et sans revenu, dont près de 80 % ont des familles à charge, sont couverts par un filet social (selon des données du CNES), soit au titre de la solidarité — ils touchent une allocation de 1 000 dinars par mois (100 francs français) -, soit, pour les plus valides, dans le cadre d’activités d’intérêt général ; ils reçoivent alors un sous-revenu, souvent avec beaucoup de retard, qui ne leur permet pas de survivre.